Passion Pétanque Rixheim
Présentation
Envie de pratiquer toute l’année une activité sportive au parfum de vacances ? Rencontre avec des adeptes du club Passion Pétanque Rixheim présidé par Marc Goerig et dont Patricia Alard assure la vice-présidence.
Pourquoi les rejoindre ?
– Pour jouer toute l’année. Grâce à son organisation et son réseau de bénévoles, le club est ouvert 12 mois sur 12, 3 après-midi par semaine dès 14h, et ce jusqu’à 20h lorsqu’il fait beau.
– Pour intégrer un petit club convivial de 43 membres dont la moitiés de femmes. « Ici, nous pratiquons la pétanque de loisir sans compétition, explique Marc. Cela correspondait à une demande ». « De nombreux temps festifs jalonnent aussi l’année, complète Patricia ». « Je viens pour jouer, car ce jeu me plait beaucoup et me déstresse, confie Nicole. Mais je viens aussi pour la bonne ambiance ! »
– Pour débuter dans un sport dont on ignore « presque » tout. « Tout le monde est intégré. On peut partir de zéro, souligne Marc. Même si aucun coach n’est identifié, les débutants bénéficient des conseils des plus anciens ». « Personne ne reste sur le banc, ajoute Patricia. Au début de chaque séance, on tire au sort la composition des équipes. On doit être capable de jouer avec tout le monde ». « Personnellement, je viens 2 fois par semaine pour m’amuser et m’adapte à tous les joueurs, souligne Clément, qui pratique aussi le vélo ».
– Pour garder ou retrouver la forme. On marche beaucoup et les articulations sont mobilisées, notamment les genoux. « Je ramasse mes boules à l’ancienne, sans aimant. Je me baisse, raconte fièrement Edmond, 79 ans ». D’ailleurs, la plupart des joueurs, souvent retraités très actifs, pratiquent d’autres activités physiques, comme la randonnée, le tennis de table ou l’aquagym.
– Pour travailler sa concentration mentale. La pétanque est très technique et stratégique. On analyse le terrain en fonction de ses caractéristiques physiques, de la météo et l’on étudie le jeu des autres. « Même s’il n’y a pas de compétition, j’aime bien gagner, reconnait Edouard ». « Mais il y a forcément des impondérables, conclut Marc, philosophe ».
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